MUSIQUE

Découvrez ou redécouvrez quelques classiques de Jimi Hendrix revisités à la sauce Jazz.

Venez ressentir tout au long de ces 11 chansons languissantes les vibrations mentales d'un soleil situé haut dans un ciel bleu sans nuage... Toutes en groove, celles-ci semblent s'enrouler dans un long souffle de saxo et on en ferme les yeux de plaisir en les enchaînant.
Coup de foudre : la chanson "Oiseau" interprétée par Bertrand Belin, une voix bien distincte pour une chanson décalée qui nous fait pourtant rêver de voler, voler... (cui cui)

Arooj, une jeune musicienne de Brooklyn née à Lahore au Pakistan, nous invite à une expérience musicale empreinte d’une douceur et d’une grâce minimaliste. Sa trans soufie métissée d’électro jazz est un univers musical original propice à l’apaisement et même au recueillement méditatif.
Une vraie respiration dans notre monde de fou, essayez !

Une folie jazz !
Les quatre pianistes jazz les plus en vue du moment, tous lauréats de victoires de la musique jazz ces dernières années, se retrouvent autour de leurs instruments de prédilections.
2 pianos, 2 fender rhodes… et c’est tout.
Le talent des quatre mousquetaires est ici incroyable.
Les quarante doigts explosent de malices pour faire de cet album un grand disque de jazz, ovationné par tous les connaisseurs.

Lorsque un trompettiste reprend quelques classiques de la musique de cinéma à sa sauce, il y a deux résultats possibles: soit on reste sur un goût d’inachevé soit on redécouvre la magie de ces airs connus. Ici, clairement nous sommes dans cette seconde catégorie.
C’est un album magistral, Truffaz exploite son instrument et son orchestre pour en sortir le meilleur. “D’amicalement vôtre” à “Fantômas” en passant par “La Strada”, nous naviguons dans le septième art sans voir la moindre image. C’est envoûtant, c’est beau.

Voici une musique à écouter en boucle, au chant lourd et envoûtant. Mélange d'électro et de funk,
d'anglais et de nigérian, l'ensemble est électrique (titre de l'album !) et ne laisse pas indifférent.
Un sacré mélange qui claque et remplit de peps, et nous réchauffe les cœurs et les oreilles !

Leur nom de groupe, hommage chapardé à Jimmy Hendrix n’est pas usurpé,  à l’écoute de cet album ravageur qui explose d’énergie pure de sauvagerie mais aussi de maîtrise.
Les Foxy ont partagé la scène avec Punish Yourself Tagada Jones et les Nashville Pussy entre autres et elles confirment leur place de ladies de la scène rock en signant ce troisième opus spécialement électrocuté par les riffs redoutables de la guitariste Lucianne Wallace et porté par le chant de Gabi Sam parfois fragile mais surtout musclé à secouer les enceintes.
Un cocktail dangereux de Rock, métal, punk, grunge, sans hésitation, tout tombe juste et vous scotche comme une gifle. Les amateurs de rock le plébiscitent, ça fait mal, mais c’est si bon !
Les renardes nous bousculent et ne s’excusent pas  ! -  “Not Sorry”
(enfin il y a un renard à la basse mais le féminin l’emporte non ?)