OUI, on peut sortir de la misère et changer de classe sociale en ayant grandi dans une cité sans passer par le rêve « Dieu du foot »
Farida Khelfa est devenue une icône de la mode. Après la mort de ses parents, elle reprend le fil de son enfance et fait le choix de prendre sa vie en main ne comptant que sur elle-même.
Édifiant et inspirant !
Choix pertinent de l’auteur espagnol Guridi dans cet album sans texte ô combien poétique et sensible pour parler du dérèglement climatique et des joies simples de l’hiver. Tout nous interpelle : le titre, la couverture avec la silhouette de l’ours, et la seule phrase de texte, à la fin «a décidé de ne pas…».
Gros coup de cœur pour cet album qui m’a émerveillé par sa sobriété et le message percutant.
J’ai une passion pour les succulentes au naturel, peu d’eau et floraison flamboyante.
Je ne pouvais pas passer à côté de cette activité .
En plus je venais de faire mes premiers pas au crochet, c’est avec enthousiasme et quelques pelotes de jolis coloris que je me suis lancée. Les tutos sont clairs et précis, les plantes «poussent» vite !
C’est très gratifiant de les mélanger avec leurs congénères réelles.
Et, pour la soif, elles sont imbattables !
Que se disent deux éléphants de mer qui se rencontrent sur la plage ? Les dunes de sable chaud chantent-elles ? Les poissons font-ils des sons dans l’eau ? Où se trouve le plus beau paysage sonore de la terre ? Le silence existe-t-il ? La nature fait-elle de la musique ? Et les étoiles ?
À travers quarante-cinq chroniques d’histoire naturelle sonore illustrées par cent quarante-cinq sons accessibles par QR-codes, ce livre vous invite à ouvrir les oreilles pour découvrir et comprendre le tempo, le rythme et la mélodie des animaux, des plantes et des paysages de notre planète.
J’ai découvert et apprécié cet auteur avec son roman fantastique ado « Doglands »
J’ai été happée de la même façon par ce polar noir qui se déroule dans le climat Post Apartheid en Afrique du Sud. Un duel sanglant entre un policier noir qui veut rendre justice et une femme blanche riche propriétaire qui veut protéger son fils …
Des personnages passionnés et ingénieux.
Suspens haletant jusqu’à la dernière ligne !
Un talent d’écriture incontestable.
Le réalisateur aborde le sujet délicat de la dépression à hauteur d’enfant, à travers le regard d’une petite fille.
Avec ses magnifiques décors et son univers de conte merveilleux rappelant celui du cinéaste japonais Hayao Miyazaki, ce court- métrage d’animation français est à ne pas manquer et son Prix du jury au Festival d’Annecy en 2021 est amplement mérité.
Ce récit est bien plus qu’un journal de sevrage alcoolique. C’est un questionnement, une remise en cause des choix que l’on fait
en lien avec notre passé, nos relations et les diktats historiques et sociétaux.
Extrait : « C’est drôle que tu dises ça. Aujourd’hui aux AA une dame a dit ceci : Quand je buvais, je confondais qui j’étais avec qui je voulais être. »
Ce témoignage est un uppercut déroutant qui laisse son empreinte ! Un jeune homme, à part, quitte la société humaine, se fait apprivoiser par un chevreuil et va vivre en forêt dans la communauté animale.
Clin d’oeil au Petit Prince, Robinson Crusoé, Le livre de la jungle et les récits d’aventuriers, une ode à la vie forestière et le respect du vivant, où l’animal sauvage accepte de cohabiter avec l’animal humain.
Le récit (véritable documentaire sur les chevreuils) est accompagné de belles photos en noir et blanc de l’auteur
Une superbe création graphique pour nous conter cette histoire qui plaira autant aux enfants qu’aux plus grands avec ses différents niveaux de « lecture ».
Le réalisateur à travers ce conte présente des réflexions autour de l'Humain et ses liens avec la nature.
Magnifique !
Anne Franck écrivait dans son journal, Waad al-Kateab filme.
Sa caméra est le prolongement de ses yeux, elle filme TOUT.
Sans cesse.
L’horreur vécue par les assiégés d’Alep arrive jusqu’à nous, filmée de l’intérieur. Un visage bien différent de celui traité par les médias.
C’est VIOLENT comme l’est cette réalité.
Un quotidien où la Mort et la Vie sont inextricablement liées.
Un film dont on ne sort pas indemne.
Un témoignage qui nous emmène découvrir le quotidien, les espoirs et la vie de ceux qui doivent s’adapter en permanence au monde dans lequel nous vivons. Paul El Kharrat s’est fait connaître à la suite de son passage dans les émissions Les Douze Coups de midi et Les Grosses Têtes. Il se raconte sans rien cacher de sa vie particulière. Mieux qu’un documentaire pour comprendre le ressenti et les émotions des personnes atteintes de troubles autistiques d’Asperger.
Une adaptation, très librement inspirée de la BD de Boulet et Pénélope Bagieu, en comédie fantaisiste, légère et poétique portée par des comédiens qui incarnent leurs personnages et qui aborde le sujet de l’amnésie et de la quête d’identité,
« On devrait tous perdre la mémoire au moins une fois dans sa vie.»
Un témoignage rare et indispensable au regard du drame que vivent les ouïghours en Chine. Un récit de vie historique et d’actualité, effroyable et criant de vérité. Rozenn Morgat, journaliste, spécialiste de la question ouïghour, a recueilli le témoignage à vif de Gulbahar Haitiwaji.